Sources de surfacturation des CNG

En espérant que ce texte vous aide à mieux comprendre la surfacturation. Si vous avez un CNG, vérifiez vos factures depuis son installation.

  • Capacité à comptabiliser les départs de moteur;
  • Erreur d’un compteur défectueux
  • Sources à venir :
    • Facturation différenciée dans le temps;
    • Remplacer tous les CNC par cause des incendies et la surfacturation de ceux qui font défaut, sous l’excuse que la technologie a évolué
  • Sources « négligeables » : 
    • Lecture aux quatre heures (six fois par jour);
    • Énergie utilisée pour communiquer entre eux.

Les compteurs émettent un signal approximativement toutes les 50 secondes pendant l’ensemble des 24 heures qui ne font rien d’autre, mais raconter à leurs voisins : allô… nous sommes ici et prêts pour vous. Puis, au-dessus de ces éclatements inutiles d’énergie RF, 6 fois par jour, ils transmettent également les chiffres de consommation au cours de cet intervalle de temps (probablement aux 4 heures).

Lectures aux quatre heures

Hydro charge environ 5 cents par kWh, pour les premiers 30 kWh par jour, et environ 8 cents pour la consommation excédant ce 30 kWh.

Alors, voici un petit exemple de consommation pendant trois jours :

Jour 1 — la consommation 20 kWh

Jour 2 — 30kWh

Jour 3 — 100 kWh

Pour un total de 150 kWh à la charge du client.

Si le calcul est effectué sur la période de trois jours (lecture une seule fois à la fin de la période de 3 jours), alors le coût sera : 90 kWh @ 5 cents, ainsi que le reste de 60 kWh @ 8 cents.

Si la lecture est prise tous les jours, donc le 30 kWh est appliqué chaque jour, alors la charge sera : 20 kWh @ 5 cents, plus 30 kWh @ 5 cents, plus (pour le dernier jour) 30 kWh @ 5 cents et 70 kWh. @ 8 cents.

Ainsi, le second cas génère une facture légèrement plus importante pour le client, MAIS il s’agit d’une très petite augmentation marginale qui n’explique pas l’augmentation de 20 % ou 50 % des abonnés

Énergie utilisée pour communiquer entre eux

Les compteurs utilisent 2,5 W/h à fonctionner, on parle de 2 $ par année. Ce ne sont pas les 20 $ par année d’augmentation due à la lecture quotidienne et la consommation du CI qui doivent attirer notre attention, mais les 40 $, 50 $, 60 $, 100 $ PAR MOIS que les abonnés sont en train de payer de plus par le départ de moteurs. Quand le CI dérape, là on parle d’augmentations de centaines de dollars par mois.

Les sources de surfacturation sont multiples et cumulatives, mais même là, le 20 % à 50 % est expliqué surtout par le fait que ces compteurs peuvent lire tout départ de moteur. Plus que nous avons des appareils à démarrage automatique (frigo, congélateur, sump pompe, calorifère, etc.) plus ta facture monte. Cela peut expliquer les 20 % à 50 %, surtout que le déploiement et le changement climatique vont de pair. Si de plus, vous avez un appareil qui marche mal, ex. : ma sump pompe est partie plusieurs fois cet été, et cela sans raison. Son mécanisme était coincé. Un vieux frigo peut partir plus de six fois par jour. Plus des gens dans la maison qui ouvrent sans cesse la porte du frigo ou de l’entrée, cela aussi peut à la longue augmenter la facturation si c’est une habitude.

Par contre, il a des augmentations encore plus salées et cela est le fait que ces compteurs sont très, très fragiles et prônes à commettre d’erreurs de lecture.

Ce sont les lectures d’énergie fantôme en Californie  sous prétexte que la chaleur cause cette erreur, tout comme surfacturation en campagne ontarienne (les RF rebondissent sur les roches et ne peuvent pas relayer l’info qui finissent par se faire manuellement et à des montants faramineux).

La facturation différenciée dans le temps ou Heure juste  va être une autre source importante de revenu pour HQ et d’appauvrissement pour nous. C’est question de temps, HQ va appliquer cette façon de facturer, c’est déjà le cas dans certaines régions où le CI est installé : OntarioCalifornia, C-B à venir

Personne ne veut, mais l’intention des compagnies d’électricité est unanime et ferme.

En conclusion, en dépendant de la température, de l’âge des appareils, de l’état de fonctionnement des appareils, du nombre d’appareils qui ont des départs automatiques, de nombre de personnes qui y habitent, la facture de ceux qui ont un CNG (« intelligent » ou pas) va augmenter de 20 % à 50 %. À cela il faut ajouter les augmentations qui ne cessent de nous être imposées. Les CNG remplissent les coffres d’HQ et vident nos maigres économies.

Une raison de plus pour protéger notre compteur à roulette et de continuer à refuser les CNG. La Northeast du Massachusetts a refusé d’installer les CI parce qu’ils n’ont pas vu aucun bénéfice ni pour eux ni pour leurs abonnés.

Oyez! Oyez! Oyez! —- Actions immédiates à prendre

SVP, envoyez ce lien à TOUS vos contacts

La Régie nous a fait deux cadeaux :

  • 90 jours pour demander un CNC, si vous avez un compteur à radiofréquences, « intelligent » ou pas
  • Ceux qui ont un CNC vont avoir un crédit de 12 $/mois depuis qu’ils ont commencé à payer les frais dissuasifs et punitifs de 17 $/mois et aussi un crédit des frais d’installation qui sont désormais à 15 $ et cela avec intérêts

Ce que vous devez faire ASAP (l’offre vient à échéance le 1er janvier 2015)

Si vous avez un CNC (Itron avec un « X ») :

  • Téléphonez HQ au 1-800-569-2577 et demandez confirmation de votre crédit et la date qu’il sera accordé; enregistrez l’appel et demandez un numéro de référence et une confirmation par écrit.
  • Crédit : si vous téléphonez dans le délai des 90 jours :
    • Frais d’installation 15 $ (après cette date c’est 85 $)
    • Frais mensuels de 5 $
    • Mise à jour -25 octobre. Les clients qui ont déjà un CNC ont reçu une lettre avisant d’un crédit rétroactif avec intérêts. Si vous ne l’avez pas reçue cette lettre, téléphonez HQ comme expliqué plus haut.

Si vous avez un compteur à radiofréquences (« intelligent » ou pas) :

  • Téléphoner à HQ au 1-800-569-2577 et PAS à Capgemini qui va prendre 12 semaines pour le changer et ce sera après le premier janvier; vous risquez de ne pas profiter de cette offre;
  • Exigez une confirmation écrite avec numéro de référence;
  • Si HQ vous demande de communiquer avec Capgemini, soyez ferme en disant que vous êtes client d’HQ et pas de Capgemini et que vous exigez le changement dans un délai de dix (10) jours et pas un de plus;
  • Si les dix jours s’écoulent, envoyez une lettre par télécopie au 1-888-558-7879, tout en gardant votre reçu d’envoi.

Si vous avez un compteur électromécanique, nous vous recommandons de continuer à le protéger : vous ne payez aucuns frais pour ce compteur. Nous voulons le conserver pendant sa durée de vie qui est beaucoup plus longue que celle des CNG.

Si vous avez un compteur électromécanique est vous êtes dans la zone 2 ou 3 et vous préférez le faire changer pour un CNC, sachez que votre facture va augmenter sans que vous dépensiez plus d’énergie par le simple fait que ces compteurs sont capables de comptabiliser les départs de moteur. Si vous voulez quand même le changer, vous avez 30 jours pour vous prévaloir du même rabais à partir de la date sur le premier avis d’installation du nouveau compteur.

La politique de retrait n’est absolument pas équitable!

Le maintien de frais de retrait, même réduits, est toujours discriminatoire envers les clients à faible revenu.

L’option de retrait est toujours réservée au seul titulaire d’abonnement. Par conséquent, la politique d’option de retrait telle que maintenue par la Régie de l’énergie ne règle d’aucune manière les problèmes des clients qui sont aux prises avec plusieurs compteurs groupés dans leurs logements. La politique de retrait laisse sans recours toutes les personnes exposées aux radiofréquences émises par des compteurs situés dans les locaux qu’ils fréquentent régulièrement sans pour autant être titulaires d’un abonnement comme les employés, les prestataires de services, etc.

La décision de la Régie de l’énergie d’abaisser les frais de retrait au lieu de les abolir comme nous le demandons n’est pas une décision visant à rétablir une véritable liberté de choix pour les clients.

Cette baisse des prix assortie de l’obligation d’en profiter dans un délai limité nous apparaît comme une pression indue qui réduit encore plus l’équité et la liberté de choix des clients qui pour diverses raisons (voyages, maladies, etc.) auraient été dans l’impossibilité de respecter ce délai.

Malgré tout, nous encourageons les personnes qui ont déjà un compteur émetteur de radiofréquences à profiter de cette baisse des frais punitifs en se prévalant de l’option de retrait afin de se débarrasser au plus vite des compteurs électropolluants déjà installés et à inciter le plus grand nombre de leurs voisins à faire de même.

Nous continuons d’encourager ceux qui ont toujours le compteur mécanique à le conserver, car les compteurs électromécaniques sont fiables, n’émettent pas d’ondes nocives, ne coûtent rien et ne comportent aucun risque de piratage électronique ou d’éventuelle facturation différenciée (Heure juste).

Décision de la régie sur les frais de l’option de retrait

La régie a pris une décision concernant les frais de retrait.

Elle a réduit les frais et cela rétroactivement. Cette décision n’aide pas les personnes à faible revenu qui sont déjà prises avec une augmentation de la facture depuis qu’un CNG a été installé. Ni les personnes qui habitent un immeuble à plusieurs logements qui seront irradiés quand même par ceux qui ne veulent pas payer, ou ne peuvent pas payer, les frais mensuels et que leur logement se trouve quand même assez éloigné des compteurs. Pas un choix acceptable pour ceux qui ont un chalet qui est utilisé que deux mois par année et qui doivent quand même débourser 60 $ par année pour une lecture annuelle.

La régie aurait dû faire comme le Vermont offrir l’option de retrait gratuitement.

C’est une triste nouvelle parce que de toute évidence la régie ne semble pas consciente de la réalité économique des citoyens, tout comme le gouvernement qui continue à ignorer les demandes des groupes Refuse.

Que pouvons-nous faire? Continuer à nous opposer et à demander la gratuité. Les élections fédérales arrivent bientôt, posez la question aux candidats dans votre région et votez pour celui ou celle qui appuie publiquement la gratuité de l’option de retrait. Ensuite, allez voir votre conseil de ville et demandez la gratuité, si ce n’est pas déjà fait. Allez à chaque réunion et dites combien de plus par mois vous payez si vous avez un compteur numérique. Il faut que votre conseil voie vos faces. Vous pouvez simplement aller au période de questions, dire combien de plus vous payez en demandez ce qu’ils vont faire pour vous aider. Ensuite vous partez.

C’est à vous de faire la gratuité un point phare, parlez-en à tous vos contacts.

Sources:

Décision: http://publicsde.regie-energie.qc.ca/projets/222/DocPrj/R-3854-2013-A-0090-Dec-Dec-2014_09_24.pdf

Sommaire: http://publicsde.regie-energie.qc.ca/projets/222/DocPrj/R-3854-2013-A-0091-Dec-Dec-2014_09_24.pdf

Communiqué de la Régie: http://www.regie-energie.qc.ca/documents/communiques/Communique_RDE_RevisionFraisOptionRetrait_24sept2014.pdf

Risque de piratage des données des compteurs « intelligents »

Mise à jour 13 septembre 2014

Certifications ISO des compteurs « intelligents » /Rafiofréquences et gestion des risques dans le traitement des données personnelles et de la sécurité informatique

Voilà peut-être un coup de canon en plein milieu du lac de désinformation qu’Hydro-Québec nous sert. Cela pourrait même relancer le débat en minant le projet des compteurs intelligents à partir d’un autre front et sous un autre angle d’attaque. En effet, j’attire votre attention sur le fait que, dans l’argumentaire que l’on retrouve dans la page « Les enjeux » du site Lévis refuse, je mentionne un nouvel argument qui, à ma connaissance, n’a jamais été exploité, et qui pourrait bien faire une différence dans notre bataille. Il s’agit du point suivant :

« Vérifier que les mécanismes de ces appareils respectent le droit à la vie privée, par exemple la gestion des risques dans le traitement des données personnelles et de la sécurité informatique (par exemple, la norme internationale ISO 27034 sur la sécurité informatique), etc.; « 

Cet argument a l’air innocent présenté comme cela! Mais voyez ma note ci-dessous qui en explique la teneur réelle.

À titre informatif  Il n’est pas obligatoire d’être certifié ISO d’aucune des normes actuellement en vigueur pour avoir le droit d’opérer un commerce ou une industrie, et d’en vendre les produits et services. C’est vrai dans n’importe quel pays. Cependant, la certification ISO équivaut à un sceau attestant que vos procédés de fabrication, votre éthique et vos produits sont de qualité supérieure et correspondent à de très hauts standards internationaux. C’est donc une marque distinctive qui est sensée inspirer fortement la confiance chez les clients potentiels.

La Norme ISO/IEC 27034 porte sur la sécurité des applications informatiques. Elle a été publiée en novembre 2011 et adoptée par plus de 49 pays, dont le Canada! Cette norme est issue d’un énorme travail de recherche d’un de nos plus grands spécialistes canadien et québécois en sécurité informatique, M. Luc Poulin, M.Sc CISSP-ISSMP CSSLP CISM CISA ift.a.

Il s’agit d’une norme qui propose une approche de gestion intégrée de la sécurité applicative dans tous les domaines qui se servent d’applications informatiques pour gérer ou communiquer des données sensibles et qui, entre autres, mettent en cause la protection des données personnelles (identité, informations bancaires, etc.), la fiabilité et l’efficience d’applications (par exemple les avions, ordinateurs de bord, etc.) dont la performance et les résultats attendus dépendent de la fiabilité du réseau informatique à transmettre les données nécessaires au bon fonctionnement de ces appareils, aux bons endroits et aux bons moments. Les résultats de ces travaux ont été testés, mesurés et validés, par des pairs à l’échelle internationale, et ce, pendant plusieurs années, dans le cadre des travaux d’un comité international ISO auxquels ont participé les plus grands spécialistes en sécurité de l’information et des applications informatiques de la planète.

Une visite du site de Landys + Gyr nous apprend que, nulle part, il n’est fait mention que leur équipement détient une Certification ISO 27 034, qui correspond au plus haut standard actuel en matière de sécurité informatique appliquée à la protection des données et aux processus de fabrication et/ou d’utilisation d’équipements ou d’applications logicielles qui les gèrent. Actuellement, Landys + Gyr dit détenir :

  • la norme ISO 50001 qui vise une gestion efficace de l’énergie aide les organismes à réaliser des économies, à réduire leur consommation d’énergie et à faire face au réchauffement climatique;
  •  la norme ISO 27001 en Europe. Cette norme, publiée en 2005 et révisée en 2013, concerne uniquement la sécurité de l’information en tant que telle, dans une perspective de protection des actifs d’une entreprise ou de sa propriété intellectuelle sur les données qu’elle manipule. On peut en trouver une définition assez exacte sur ce lien . Ce qu’il faut comprendre, c’est que cette norme ne donne aucune marche à suivre sur le traitement de l’information à partir d’une gestion intégrée d’un traitement informatisé en lien avec la transmission ou la circulation électroniques des données par le biais de diverses applications, que ce soit à l’interne ou à l’externe de l’entreprise. Comme les compteurs intelligents collectent des données qu’ils transmettent par la suite, et qu’il y a non seulement une transmission par antenne, mais aussi une gestion informatique gérée par différentes applications et outils (logiciels, modems, serveurs, etc.), il faut un protocole blindé pour contrôler la circulation de toutes ces informations. En effet, le circuit emprunté pour le transfert des données transite d’un compteur à l’autre, le traitement des données qui s’ensuit se fait via des modems, des serveurs de plusieurs réseaux de communication informatique, et aboutit à différents endroits extérieurs au réseau d’Hydro-Québec. Il appert donc que la Certification ISO 27 034 est un des prérequis essentiels auxquels doivent répondre Hydro-Québec et Landis + Gyr avant de seulement songer à implanter une nouvelle technologie gérant les comptes personnels de toute une population qui paie pour ces services et qui s’attend à de hauts standards de qualité et de sécurité.

Vous trouverez un aperçu de ce que gère la norme ISO/IEC 27034, ICI

Le hic, c’est que vous pouvez acheter une norme ISO. Ensuite, vous devez transformer vos processus de gestion et de fabrication en fonction de cette norme. Par la suite, lorsque la certification est possible, l’étape suivante consistera à obtenir la certification qui correspond au pays où vous désirez opérer pour avoir le droit de vous servir de cet incitatif afin de mettre votre clientèle potentielle en confiance. Cette certification n’est pas attribuée par ISO, mais bien par des organismes de certifications indépendants qui ne sont pas pour l’instant en mesure d’évaluer cette certification. Si notre compréhension est exacte, la démarche de certification sera donc valide en fonction des pays dans lesquels l’organisme de certification sera reconnu. Donc, si vous voulez opérer en utilisant la certification ISO pour valider la qualité de votre démarche et de votre produit, pour une même norme, vous devez vous certifier plusieurs fois en fonction des pays où vous voulez étendre vos activités.

Voici les précisions que Landis + Gyr mentionne sur son site internet concernant les normes auxquelles elle dit se conformer :

  • 27 mars 2014, obtention de la certification ISO 27001 en Europe, mais pas pour tous les pays. D’après mes recherches, ils sont certifiés en Suisse, en Grèce et dans 3 pays du Royaume-Uni, mais il n’est pas précisé lesquels!!! Ils ont commencé les démarches pour la France, mais n’obtiendront pas la certification avant juin 2015. Aucune mention n’est faite pour le Canada… Voilà qui suscite donc de sérieuses questions!!!
  • Landis +Gyr affirment avoir obtenu la certification ISO 50001. Cependant, ils ne fournissent aucune indication à propos de la date de l’obtention et des pays dans lesquels ils sont certifiés. Me semble que quand on est certifié quelque part, on a avantage à le préciser… N’est-ce pas surprenant un brin???
  • Quant à l’adoption et à l’intégration des processus recommandés par la norme ISO 27034, il n’en n’est fait aucune mention sur le site de Landis + Gyr. La certification n’étant pas encore disponible compte tenu du fait que la norme soit récente, la norme peut tout de même être intégrée dans les processus de gestion et de fabrication.

Nous espérons que ce complément d’information sera utile et qu’il n’aura pas été trop ardu de le lire. Mais, nous estimons important de partager ce que nous savons à ce sujet.

Jocelyne Breton

De l’équipe Lévis refuse les compteurs

levis.refuse@gmail.com

Infolettre été 2014

Bonjour – Greetings –Shekon

  •  Comment se protéger des radiations à moindre prix
  • Risque d’incendie, vrai ou faux?
  • Surfacturation
  • Risque de piratage
  • Moratoires et demandes de gratuite des frais de l’option de retraite
  • Pétition 2014

 COMMENT SE PROTÉGER À MOINDRE PRIX

 Les citoyens continuent à nous faire part de leurs problèmes de santé suite à l’installation soit de leur CNG ou de ceux de leurs voisins. Ils nous demandent que faire pour diminuer leur exposition aux radiofréquences. Nous ne sommes pas des experts dans la matière et pour cette raison nous avons demandé à ceux qui le sont. Libre à vous à décider si vous protégez ou pas votre demeure. Les deux matériaux les moins dispendieux ce sont le papier aluminium et la maille en aluminium type moustiquaire.

 Couvrir le compteur

Le meilleur moyen de se défendre contre votre propre compteur « intelligent » est simplement de l’envelopper dans une feuille d’aluminium; trois ou quatre couches sur le côté et à l’avant, puis fixez-le avec du ruban adhésif de sorte que l’aluminium ne s’envole pas. Le ruban devrait toucher le boîtier métallique où se trouve le compteur. La plus grande partie du signal sort par l’avant de l’appareil. Cette opération réduit la force d’émission qui sort d’un facteur de 10 à 15 fois à l’avant et sur ​​les côtés. Dans la partie derrière du compteur « intelligent », le CEM est réduit par le fait que l’antenne pointe vers l’avant (extérieur) et par le boîtier métallique du compteur; dans l’ensemble, il est environ 10 fois moins puissant que dans l’avant de l’appareil; même si vous ne faites rien. Le signal est si fort que même si le compteur est à l’intérieur d’un garage et tout enveloppé, il peut encore communiquer assez facilement avec les compteurs du voisinage.

Si tous les voisins font le même geste, de 75 % à 95 % du problème sera réduit.

 Est-il nécessaire de faire la mise à terre des feuilles d’aluminium?

D’un point de vue CEM parce que le fil de mise à la terre sert plus comme une antenne que comme un chemin de terre pour un signal RF, donc la réponse est NON, pas vraiment nécessaire de faire la mise à terre; mais,
Oui, d’un point de vue électrique dans les cas où un mur entier (grande surface) est recouvert d’un matériau conducteur (par ex. Peinture graphite, grosse maille en aluminium), car ceux-ci peuvent devenir un danger électrique pour la maison.

En aucun cas, ne laissez personne dormir sur le mur adjacent au compteur!!!!! 

Les murs de ciment sont d’excellents isolateurs, les murs de briques sont isolateurs relativement faibles et les fenêtres (verres) sont des portes ouvertes aux RF. Donc, au moins avoir des moustiquaires en aluminium sur les fenêtres (cela aidera un peu). Si votre budget vous le permet, il y a des tissus avec fil métallique qui peuvent réduire votre exposition à +90 %. Simplement les placer comme de simples rideaux (plein jour).

 Pendant que vous et moi pensons à nous protéger sans dépenser une fortune, le PDG d’HQ, Thierry Vandal dort tranquille, sans compteur « intelligent » puisque Westmount Hydro a décidé de ne pas les installer.

 Est-ce que ces gestes entravent la communication des CNG?

Pas de tout, comme mentionné plus haut, le signal est si fort qu’il va traverser les murs de ciment et tout objet dans son chemin pour communiquer avec les CNG avoisinants.

 RISQUE D’INCENDIE, VRAI OU FAUX?

Ce sont les incendies des compteurs à la Saskatchewan qui ont intéressé à beaucoup d’entrevous (plus de 10 000 visites sur notre page Facebook). Le risque est réel; quoique seulement trois incendies ont été rapportés dans les médias (St-Léonard, St-Adolphe d’Howard et St-Clet), d’autres ont eu lieu, mais ne sont pas médiatisés. Dans les Laurentides nous avons eu de rapports à Deux-Montagnes, Ste-Sophie, St-Jérôme et Ste-Agathe.

 Il y a plusieurs facteurs qu’entrent en jeu :

  • Les incendies nous montrent que les CNG ne possèdent pas de dispositifs de protection (plus dispendieux que le CNG);
  • Fragilité des CNG (les composants sont connus d’avoir une durée de vie très courte, le plastique aussi, carte à circuit imprimé qui fissure avec le changement de température, etc.);
  • Les CNG Sensus ont été retirés à cause des incendies et nos CNG ont un module de communication Sensus;
  • Les CNG sont installés sans balancer les courants;
  • Pas de certification CSA, UCL ou UL;
  • Pas de certification ISO;
  • Les CNG sont installés hâtivement et la partie femelle (côté de la maison) peut être endommagée en voulant faire vite;
  • Les CNG sont fixés hâtivement dans le boîtier sans couper le courant avant l’installation;
  • La partie femelle de la connexion peut être déjà endommagée (corrodée ou élargie) et pas détectée par les amateurs qui font l’installation;
  • Les installateurs posent le CNG sur le sol enneigé et l’eau risque de causer un court-circuit;

 Les experts nous expliquent que des court-circuites ou de surtensions, soit venant du CNG même, soit de la ligne d’alimentation ou par la manière que les CNG sont installés, sont les responsables des explosions et incendies et que de toute évidence les soit distants compteurs « intelligents » sont incapables, par leur conception même, de se protéger et encore moins protéger la section de l’abonné.

 Le danger d’incendies des CNG augmente lors qu’il a des surtensions sur le réseau électrique.

Ceux-ci ont tendance à augmenter lorsque le réseau électrique est lourdement chargé.
Le réseau électrique d’Hydro-Québec est peu chargé en ce moment, et les compteurs sont nouveaux.

Quand notre grille sera plus chargée et « notre » compteur indésirable un peu plus âgé, il est très probable que le nombre d’incendies va augmenter. Il ne faut pas oublier que ces compteurs sont conçus avec plusieurs applications, incluant communiquer, non seulement avec tout appareil « intelligent » avec une carte Zigbee, mais aussi avec les compteurs de gaz et d’eau.

Ensuite, nous allons entendre le porte-parole d’HQ et ceux qui poussent cette première vague de CNG dire, par exemple : Ça alors! Les CNG actuels sont devenus vieux, nous avons besoin de nouveaux!

Ou, ils diront : Il est important de garder notre grille à un niveau constant et éviter trop de commutation, et c’est pourquoi nous allons commencer à faire payer les abonnés une tarife d’électricité plus haute en période de pointe de manière à décourager la consommation et éviter les surcharges, les incendies potentiels et économiser de l’argent. C’est déjà le cas partout où les CNG sont installés.

 Sans doute les as de la communication à la solde d’HQ sont déjà en train de penser à la publicité pour nous vendre les compteurs de nouvelle, nouvelle, génération : « CNNG », de la deuxième vague.

 SURFACTURATION

Plusieurs citoyens sont surpris de constater que depuis le CNG, « intelligent » ou pas, a été installé chez eux, leur facture a augmenté d’énormément beaucoup. La réponse est simple : HQ a raison, les compteurs numériques sont plus précis. Ils mesurent tout départ de moteur, ce que le compteur électromécanique ne peut pas faire. Votre réfrigérateur part en moyenne six fois par jour pour maintenir sa température… même pendant votre absence. Maintenant tout départ de vos appareils : congélateur, lave-vaisselle, plainte électrique, sum pompe, etc., et bien comptabilisé.

 Un autre point important est que ces compteurs sont incapables de vous créditer l’énergie non utilisée, ce que le compteur électromécanique est capable de faire.

 De ces deux faits, vous payez de 10 % à 50 % de plus que d’habitude sans avoir gaspillé un seul kilowatt de plus. 

 Le fait que ces compteurs sont très, très fragiles, il est possible que certains facturent trois, quatre et jusqu’à sept fois de plus. Dans ce cas, il faut insister pour qu’il soit changé.

 En 2011, Pacifique Gas and Electric Company, a admis que près de 1600 dits compteurs « intelligents » avaient chargé les clients pour une alimentation fantôme (non existante). Les compteurs, fabriqués par Landis + Gyr, fonctionnent mal quand ils deviennent trop chauds. 

 Conserver le compteur électromécanique reste le meilleur choix.

 RISQUE DE PIRATAGE

À Toronto, 179 000 dossiers de clients ont été piratés en 2010. Rapport de Verizon.

 MORATOIRES ET DEMANDES DE LA GRATUITÉ DES FRAIS DE L’OPTION DE RETRAITE

 Le nombre de municipalités continue à grandir. Plus de 110.

 PÉTITION 2014

 Pour ceux d’entrevous qui n’ont pas encore signé la nouvelle pétition qui se trouve sur le site de l’Assemblée nationale, vous avez jusqu’au 17 octobre 2014 pour la signer en ligne.

 En espérant que ces infos vous seront utiles, je vous souhaite une belle fin d’été.

Lettre envoyée à Santé Canada aujourd’hui

Declaration: Call for Protection of Children Suffering Autism from Radiofrequency Radiation Exposure

We are scientists engaged in the study of environmental factors that influence autism. We have serious concerns regarding Health Canada’s Safety Code 6 Guideline.

In 2007 a study brought attention to the effect of electromagnetic fields- radiofrequency radiation (EMF-RFR) in children suffering from autism and their incapacity to eliminate heavy metals. Since then, our environment has become more polluted than ever by wireless technology and Health Canada has done nothing to either take into consideration the non thermal effects of EMF or to educate the public on its safe use.

The 2012 BioInitiative report includes a whole chapter on the effects of EMF in autism. Over 400 studies were revised. Although the exact mechanism whereby a normal child’s development changes into one of autistic behavior is still unknown, studies must concentrate in the factors that may influence such change and also may maintain it.

A child, during all developmental stages is influenced by EMFs and particularly radiofrequency radiation. They are the most fragile population and must be protected from all EMF-RFR. Such is not the case because guidelines do not consider non thermal effects.

In 1990 the autism ration was 1:10 000, today the prevalence is of 1:68, affecting five times more boys than girls. Health Canada is failing its duty to protect children so that the epidemic stops.

EMF-RFR has to be used with precaution and not as a toy; it also has a positive use that should be looked into, but having guidelines 1000 times above the non thermal effect is irresponsible.

We also urgently call upon Health Canada to:

1. To intervene in what we view as an emerging health crisis;
2. To establish guidelines based on the best available scientific data including cognitive and developmental disorders, developmental effects, learning and behavioral problems among children and youth, cancer and DNA damage and stress response, and the broad range of symptoms classified as EHS; and
3. To advice Canadians to limit their exposure, particularly children and educate them to use it responsibly.

Signed,

Maria Acosta, B.Sc. Spokesperson for Basses-Laurentides refuse

Dr. Stephanie Cave MD. FAAFP

Dr. Andrew Wakefield MB,BS

Dr. F. Edward Yazbak MD, FAAP – TL Autism Research, Falmouth MA 02540
“My long-standing personal concern about the health of exposed children to EMF was greatly enhanced by a 2011 Scientific Paper by Buchner and Eger where they described a significant increase in the levels of adrenaline and noradrenaline following exposure and a concomitant substantial decrease in the level of dopamine.
There should be little doubt in anyone’s mind that long-term dysregulation of the catecholamine system will sooner or later damage a child’s health and well-being.” (Attached)

Date of Issuance: July 14th 2014

References to be taken into consideration for the revision of CS6.

Most recent studies on the effects of EMF-RF on children suffering from autism:

• Alsaeed I, Al-Somali F, Aljarallah OS, Hamdan RM, Bubishate SA, Sarfaraz ZK, Kamal A; Autism-relevant social abnormalities in mice exposed perinatally to extremely low frequency electromagnetic fields. Int. J. Dev. Neurosci. 2014 Jun 23;37C:58-64. doi: 10.1016/j.ijdevneu.2014.06.010. [Epub ahead of print]

• Herbert MR, Sage C. Autism and EMF? Plausibility of a pathophysiological link part II. Pathophysiology. 2013 Jun; 20(3):211-34. doi: 10.1016/j.pathophys.2013.08.002. Epub 2013 Oct 8.

• Pino- Lôpez M., Romero-Avuso DM ; Parental occupational exposures and autism spectrum disorder in children; Rev. Esp. Salud Pública 2013 Jan-Feb;87(1):73-85. doi: 10.4321/S1135-57272013000100008

Oxidative stress is one of several biomarkers for people who have become electro hyper sensitive (EHS). Autistic children are more vulnerable to oxidative stress.

• Rossignol DA, Frye RE. Evidence linking oxidative stress, mitochondrial dysfunction, and inflammation in the brain of individuals with autism. Front Physiol. 2014 Apr 22;5:150. doi: 10.3389/fphys.2014.00150. eCollection 2014.

• James SJ et all. Metabolic endophenotype and related genotypes are associated with oxidative stress in children with autism. Am. J. Med. Genet. B. Neuropsychiatr. Genet. 2006 Dec 5;141B(8):947-56

So is vitamin D deficiency and thyroid disturbance:

• Khan A et all. Disrupted brain thyroid hormone homeostasis and altered thyroid hormone-dependent brain gene expression in autism spectrum disorders. J. Physiol. Pharmacol 2014 Apr;65(2):257-72.

• Dennis K. Kinney,Daniel H. Barch , Bogdan Chayka Siena Napoleon, Kerim M. Munir. Environmental risk factors for autism: Do they help cause de novo genetic mutations that contribute to the disorder? Med Hypotheses. 2010 Jan;74(1):102-6. doi: 10.1016/j.mehy.2009.07.052. Epub 2009 Aug 21.

Other studies linking exposure to CEM-RF and autism:

• DijK DJ. Sleep spindles, mobile phones, lucid dreaming and sleep in Parkinson’s disease and autism spectrum disorders. J Sleep Res. 2012 Dec;21(6):601-2. doi: 10.1111/jsr.12022

• Dennis K. Kinney,Daniel H. Barch , Bogdan Chayka Siena Napoleon, Kerim M. Munir. Environmental risk factors for autism: Do they help cause de novo genetic mutations that contribute to the disorder? Med Hypotheses. 2010 Jan;74(1):102-6. doi: 10.1016/j.mehy.2009.07.052. Epub 2009 Aug 21.

• Currenty SA. Understanding and determining the etiology of autism. Cell Mol Neurobiol. 2010 Mar;30(2):161-71. doi: 10.1007/s10571-009-9453-8. Epub 2009 Sep 23.

• Thorton IM. Out of time: a possible link between mirror neurons, autism and electromagnetic radiation. Med. Hypotheses. 2006 67(2):378-82. Epub 2006 Mar 10.

• Kane RC. A possible association between fetal/neonatal exposure to radiofrequency electromagnetic radiation and the increased incidence of autism spectrum disorders (ASD). Med Hypotheses. 2004;62(2):195-7

22 médecins font appel à Santé Canada

Les médecins font appel à Santé Canada afin d’obtenir :

i. Des normes de sécurité visant à mieux protéger la santé des Canadiens,
en ce qui a trait aux radiations sans-fil;

ii. Des directives et ressources afin d’aider les médecins canadiens à
évaluer et traiter les problèmes de santé reliés aux radiofréquences.

Considérables sont les recherches et l’évidence indiquant que l’exposition aux radiations sans fil en provenance des systèmes WI-FI, compteurs intelligents et tours de transmission cellulaire puisse avoir des effets dommageables sur les fonctions physiologiques humaines. Plusieurs récentes et nouvelles études provenant de départements de recherches universitaires et de sources scientifiques à travers le monde confirment l’idée que le rayonnement émanant d’appareils sans-fil pourrait être la cause de problèmes de santé variés : infertilité, troubles du développement, déséquilibres hormonaux et cancers. De fait, en 2011, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a classé la radiation sans fil comme possiblement cancérigène (classification 2B) et des recherches
subséquentes ont fortement démontré qu’une classification plus rigoureuse
pourrait être justifiée.

Dans un souci sincère pour la santé des Canadiens à tous les stades de la vie — du fœtus en développement à l’enfance puis l’âge adulte — nous demandons respectueusement que :

i) Santé Canada développe et appuie les stratégies visant à accroître la
sensibilisation en ce qui a trait aux impacts des radiations sans-fil et qu’elle
réduise au minimum l’exposition à ces radiations dans les écoles et autres
endroits où les enfants sont régulièrement exposés.

ii) Santé Canada entreprenne une revue exhaustive de la littérature scientifique
englobant tous les groupes d’âge en se basant moins sur les recherches
financées par l’industrie étant donné qu’elle a reconnu qu’une revue complète de
la littérature scientifique n’avait pas été partie intégrante de sa dernière révision
du Code de sécurité 6 (lignes directrices ayant trait à la radiation sans-fil et s’en
tenant aux effets thermiques sur les tissus d’hommes adultes).

iii) Santé Canada fournisse les directives et ressources afin que les médecins
soient renseignés en ce qui a trait à l’exposition aux radiofréquences et aux
problèmes de santé y étant reliés et qu’ils soient mis au courant des
présentations cliniques qui pourraient être en lien avec la surexposition ou
l’électrosensibilité (similaires à : « Ligne directrice de l’Association Médicale
autrichienne pour le diagnostic et le traitement des troubles de santé et maladies
reliés aux champs électromagnétiques [2012] ») (Note : Une mise à jour de cette
directive est attendue – celle-ci étant présentement en révision.)

Dre Jennifer Armstrong, MD, DIBEM, BSc, Past President, American Academy of Environmental Medicine, OEHC Ottawa Environmental Health Clinic, Ottawa, ON
Dr Robert Banner, MD, CCFP, FCFP, FRCP, Dip AAPM, Dip CAPM, ABIHM, London, ON
Dre Alison C. Bested, MD, FRCPC, Clinical Associate Professor, Faculty of Medicine, University of British Columbia, BC
Dre Jody Bowle-Evans, BA, MD, CGPP, ON
Dre Riina Bray, BASc MSc MD, FCFP MHSc, Assistant Professor, Department of Family and
Community Medicine, University of Toronto, ON
Dr Phillip Bright, MD, G.P, Kitchener, ON
Dr John Cline, MD, Family Doctor / General Practitioner, Nanaimo, BC
Dre Cara Flamer, BSc, MD, CCFP, Toronto, ON
Dr Robert W Henderson, MD, CCFP, FCFP, Campbellford, ON
Dr Steven Herr, MD, BScH, MC, CCFP(EM), FCFP, Huntsville, ON
Dre Veronica Kekosz BA, BSc, MD, FRCP(C), Toronto, ON
Dre Kathleen Kerr MD, Family Physician, Toronto, ON
Dr Robert F. Kidd, MD, CM, Renfrew, ON
Dr Tom Kouroukis, MD, MSc., FRCPC, Associate Professor, McMaster University, Hamilton, ON
Dr Ross Mickelson, MD., B.Sc., Ottawa, ON
Dre Anne Marie Mingiardi, MD, BSc (Hon), Kitchener, ON
Dr John Molot, MD CCFP FCFP, Family Physician, Toronto, ON
Dr Richard Nahas, MD CCFP, Assistant Professor Department of Family Medicine University of Ottawa, ON
Dre Barbara Power, MD FRCPC, Associate Professor of Medicine at the University of Ottawa, ON
Dr Hugh E Scully, BA, MD, MSc, FRCS[C],FACS,FACC,FAHA, Professor of Surgery and Health Policy, University of Toronto, Consultant Cardiac Surgeon, UHN Toronto General Hospital. Past-President, Ont. Med. Assoc.; Canadian Med. Assoc.; Canadian, Cardiovascular Soc.; Former Council [Board], Royal Coll. of Physicians and Surgeons of Canada; World Med. Assoc.; Former Governor of the Amer. Coll. of Surgeons; Member, Health Policy Advocacy Group, Amer. Coll. of Surgeons, Toronto, ON
Dre Sabrina Stables, Family Doctor / General Practitioner, Toronto, ON
Dr Adil Vasanji, Family Doctor / General Practitioner, Edmonton, AB

Date d’émission 9 Juillet, 2014

1 Genuis SJ. Fielding a current idea: exploring the public health impact of electromagnetic radiation. Public Health. 2008 Feb;122(2):113–24.

1 Eger H, Jahn M. Specific symptoms and radiation from mobile base stations in Selbitz, Bavaria, Germany: evidence for a dose-effect relationship (original article in German). Umw Med Ges. 2010;23(2):130–9.

1 International Agency for Research on Cancer (IARC). Non-Ionizing Radiation, Part 2: Radiofrequency Electromagnetic Fields [Internet]. 2013 [cited 2013 Sep 2]. Disponible: http://monographs.iarc.fr/ENG/Monographs/vol102/index.php

1 Coureau G, Bouvier G, Lebailly P, Fabbro-Peray P, Gruber A, Leffondre K, et al.Mobile phone use and brain tumours in the CERENAT case-control study. Occup Environ Med. 2014 May 9; oemed–2013–101754.

1 Hardell L, Carlberg M. Using the Hill viewpoints from 1965 for evaluating strengths of evidence of the risk for brain tumors associated with use of mobile and cordless phones. Rev Environm Health. 2013 Oct 11.

1 Davis DL, Kesari S, Soskolne CL, Miller AB, Stein Y. Swedish review strengthens grounds for concluding that radiation from cellular and cordless phones is a probable human carcinogen. Pathophysiology. 2013 Apr; 20(2):123–9.

Déclaration soumise à Santé Canada ce matin par 53 experts

Déclaration soumise aujourd’hui à Santé Canada par 53 experts en effets des champs électromagnétiques provenant de 17 pays

English version

Déclaration: Des scientifiques demandent des mesures de protection pour ce qui est de l’exposition aux radiofréquences.
(Note: Ceci inclut – mais ne se limite pas – aux appareils émetteurs de radiofréquences tels téléphones cellulaires, téléphones sans fil et leurs bases de recharge, systèmes WI-FI, tours de télécommunications, compteurs intelligents et moniteurs de bébé sans fil.)

Nous sommes des scientifiques se consacrant à l’étude des impacts sur la santé et la sécurité des champs électromagnétiques et radiofréquences. Nous avons de sérieuses préoccupations en ce qui a trait aux lignes directrices du Code de sécurité 6 de Santé Canada.

La ligne directrice du Code de sécurité 6 canadien est fondamentalement inadéquate.

Le code de sécurité 6 de Santé Canada est basé sur un rapport et une analyse, désormais désuets, de la recherche sur la radiation sans-fil et n’a pas tenu compte, ou bien minimisé l’importance, de certaines études récentes faisant état d’effets biologiques dommageables sur la santé humaine perturbant l’ADN des cellules, la synthèse des protéines, la réponse au stress et se produisant à des niveaux d’exposition inférieurs aux limites fixées par le Code de sécurité 6 actuel.

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS)a classé les champs électromagnétiques d’extrêmement basses fréquences (2001) ainsi que les radiofréquences (2011) comme des « agents possiblement cancérigènes pour l’humain, de classe 2  » et a inclus des études et revues de littérature scientifique, rapportant les effets biologiques engendrés par ces champs de basses fréquences.

Les lignes directrices du Code de sécurité 6 ne protègent pas les gens.

Actuellement, les lignes directrices quant aux limites d’exposition aux radiofréquences sont, dans d’autres pays, (Chine, Russie, Italie, Suisse) basées sur les effets biologiques et 100 fois plus restrictives que celles établies sur une conception dépassée des radiofréquences et, qui ne tiennent compte principalement que des effets thermiques, telles les lignes directrices du Code de sécurité 6 de Santé Canada. Suivant une récente revue du code de sécurité 6 (Rapport de la Société Royale du Canada intitulé: » Une Révision du Code de sécurité 6 (2013) : Les limites de sécurité de Santé Canada en ce qui a trait à l’exposition aux champs électromagnétiques et radiofréquences », Santé Canada a décidé de ne pas abaisser les limites actuellement en vigueur et d’inclure arbitrairement une limite d’exposition maximum étant 1000 fois plus élevée que l’exposition moyenne calculée sur une période de 6 minutes. De plus, Santé Canada n’adhère pas au principe de précaution mis en application par divers États alors qu’il est légitime de croire qu’il existe de sérieux risques pour la santé ou l’environnement malgré le manque de consensus scientifique.

Déclaration

De nombreux canadiens et personnes à travers le monde perçoivent tous de plus en plus un risque lié à la prolifération des sources émettrices de radiofréquences, présentes dans leur vie quotidienne et des effets dommageables rapportés sur la santé. Depuis le début de l’ère sans-fil dans les années 1990, les études sur la santé démontrent une augmentation du nombre de gens réagissant négativement aux champs électromagnétiques, à leur rayonnement. Des études épidémiologiques démontrent les liens entre l’exposition aux radiofréquences et cancers, désordres neurologiques, changements hormonaux, symptômes d’hyperélectrosensibilité et autres. Des études de laboratoire indiquent des taux de cancer plus élevés, des anomalies au niveau du sperme, des retards de développement et pertes de mémoire et des troubles cardiaques.

Les personnes éprouvant des difficultés à fonctionner en raison de l’exposition aux radiofréquences ainsi que celles qui préfèrent vivre, travailler et élever leur famille dans des environnements où les champs électromagnétiques sont bas sont de plus en plus incapables de trouver de tels endroits.

La productivité des travailleurs, même la capacité de gagner sa vie, diminue. Certaines personnes se voient forcer de vivre de façon nomade et isolée avec peu de ressources à leur disposition. La communauté médicale en Amérique du Nord est largement ignorante des effets biologiques résultant de l’exposition aux radiofréquences et ne sait pas comment traiter les personnes devenues malades. Les méthodes usuelles employées afin d’alléger les symptômes et promouvoir la guérison sont inefficaces en raison d’une part de l’exposition devenue omniprésente.

Notre urgente requête pour la protection de la santé publique.

La santé publique et la santé de l’environnement sont menacées par les technologies émettrices de radiofréquences, évoluant sans cesse, sans considération pour les effets cumulatifs potentiels sur les systèmes biologiques risquant d’en résulter dans le futur.

Nous demandons urgemment à Santé Canada…

i) d’intervenir dans ce que nous considérons comme une crise émergente de santé publique;

ii) d’établir des lignes directrices basées sur les meilleures données scientifiques disponibles incluant les études sur le cancer et les dommages à l’ADN, réponse au stress, désordres cognitifs et neurologiques, troubles de reproduction, effets au niveau du développement, troubles de l’apprentissage et de comportement chez les enfants et les jeunes, ainsi que la vaste panoplie de symptômes classés comme étant de l’électrohypersensibilité; et

iii) d’aviser les Canadiens de limiter leur exposition et spécialement, l’exposition des enfants.

Signé,
Dr. Franz Adlekofer, MD, Pandora Foundation, Allemagne
Dre. Bahriye Sırav Aral, Gazi University, Faculty of Medicine, Department of Biophysics, Turquie
Dre. Fiorella Belpoggi, Director, Cesare Maltoni Cancer Research Center, Ramazzini Institute, Italie
Prof. Dr. Dominique Belpomme, MD, MPH, Prof, Med. Oncol. Paris Univ. Hospital; Dir., European Cancer & Environment Research Inst., France
Dr. Martin Blank, PhD, Columbia University, États-Unis
Prof. Marie-Claire Cammaerts, PhD, Faculty of Sciences, Free University of Brussels, Belgique
Dre. Ayse G. Canseven, Gazi University, Medical Faculty, Biophysics Department, Turquie
Dr. David Carpenter, MD, Institute for Health and the Environment, University at Albany, États-Unis
Dre. Simona Carrubba, PhD, Daemen College, Women & Children’s Hospital of Buffalo (Neurology), États-Unis
Dre. Devra Davis, PhD, MPH, President, Environmental Health Trust; Fellow, American College of Epidemiology, États-Unis
Dre. Adilza C. Dode, PhD, MSc, Prof. EMF Pollution Control, Environ. Eng. Dept, Minas Methodist Univ. Ctr. Belo Horizonte,Brésil
Dr. Meric Arda Esmekaya, PhD, Gazi University, Biophysics Department, Turquie
Dr. Arzu Firlarer, MSc, PhD, Senior Researcher & Instructor, Occupational Health and Safety Department, Baskent University, Turquie
Dre. Adamantia F. Fragopoulou, MSc, PhD, Postdoc. Research Assoc., Dept. Cell Biology & Biophysics, Biology Faculty, Univ. of Athens, Grèce
Dr. Christos Georgiou, Prof. Biochemistry, Biology Department, University of Patras, Grèce
Dr. Livio Giuliani, PhD, Director of Research, Italian Health National Service, Rome-Florenze-Bozen, Italie
Prof. Yury Grigoriev, MD, Chairman, Russian National Committee on Non-Ionizing Radiation Protection, Russie
Dr. Settimio Grimaldi, PhD, Associate Scientist, National Research Council, Italie
Dr. Claudio Gómez-Perretta, MD, PhD, Hospital Universitario la fe Valencia, Espagne
Dr. Lennart Hardell, MD, PhD, University Hospital, Orebro, Suède
Dre. Magda Havas, PhD, Environmental and Resource Studies, Centre for Health Studies, Trent University, Canada
Dr. Paul Héroux, PhD, Director, Occupational Health Program, McGill University Medical; InvitroPlus Labs., Royal Victoria Hospital, Canada
Dr. Donald Hillman, PhD, Professor Emeritus, Department of Animal Science, Michigan State University, États-Unis
Dre. Martha R. Herbert, PhD, MD, Harvard Medical School, Massachusetts General Hospital, États-Unis
Dr. Tsuyoshi Hondou, Tohoku University, Japon
Dr. Olle Johansson, Associate Professor, The Experimental Dermatology Unit, Dept. of Neuroscience, Karolinska Institute, Suède
Dr. Florian M. Koenig, DrSc, Director of Fl. König Enterprises GmbH, Sferics & Meteorosensitivity Research Inst., Germering, Allemagne
Dr. Kavindra Kumar Kesari, MBA, PhD; Res. Sci., Dept. Environmental Sciences, Univ. Eastern Finland, Finland: Jaipur Nat. Univ., Inde
Prof. Girish Kumar, IIT Bombay – microwaves and antennas, Inde
Dr. Henry Lai, PhD, University of Washington, États-Unis
Dr. Dariusz Leszczynski, PhD, DSc, Editor-in-Chief: Frontiers in Radiation and Health, Switzerland; Prof, Univ. of Helsinki, Finlande
Dre. Ying Li, PhD, InVitroPlus Laboratory, Department of Surgery, Royal Victoria Hospital McGill University Medicine, Canada
Prof. Dr. Wolfgang Löscher, Head, Dept. Pharmacology & Toxicology, Univ. Veterinary Medicine; Center for Neuroscience, Hannover, Allemagne
Dr. Lukas H. Margaritis, PhD, Prof. Emeritus, Department of Cell Biology and Biophysics, Biology Faculty, University of Athens, Grèce
Dr. Marko Markov, PhD, Research International Buffalo, États-Unis
Dr. Samuel Milham, MD, MPH, États-Unis
Dr. Anthony Miller, MD, University of Toronto, Canada
Dr. Hidetake Miyata, PhD, Associate Professor, Department of Physics, Faculty of Science, Tohoku University, Japon
Dr. Joel M. Moskowitz, PhD, School of Public Health, University of California, Berkeley, États-Unis
Dr. Raymond Richard Neutra, MD, PhD, États-Unis
Dr. Gerd Oberfeld, MD, Speaker Environmental Medicine, Austrian Medical Association; Public Health, Salzburg Government, Autriche
Dr. Klaus-Peter Ossenkopp, PhD, Department of Psychology (Neuroscience), University of Western Ontario, Canada
Dr. Elcin Ozgur, PhD, Biophysics Department, Gazi University Faculty of Medicine, Turquie
Dr. Martin Pall, PhD, Professor Emeritus, Biochemistry and Basic Medical Sciences, Washington State University, États-Unis
Dr. Michael A. Persinger, Professor, Behavioural Neuroscience, Biomolecular Sciences & Human Studies, Laurentian University, Canada
Dr. Jerry L. Phillips, PhD, Center for Excellence in Science, Prof, Dept. Chem. & Biochem., University of Colorado, Colorado Springs, États-Unis
Dr Timur Saliev, MD, PhD, Life Sciences, Nazarbayev Univ., Kazakhstan; Institute Medical Science/Technology, University of Dundee, Royaume-Uni
Dr. Alvaro Augusto de Salles, PhD, Professor, Federal University of Rio Grande do Sul, Porto Alegre, Brésil
Prof. Dr. Nesrin Seyhan, Medical Faculty, Gazi University; Founding Chair, Biophysics Dept, WHO EMF Advisory Committee, Turquie
Dr. Wenjun Sun, PhD, Professor, Bioelectromagnetics Key Laboratory, Zhejiang University School of Medicine, Hangzhou, Chine
Dr. Lebrecht von Klitzing, PhD, Head of Inst., Environ. Physics; Former Head, Clinical Research, Medical Univ. Luebeck, Allemagne
Dr. Stelios A. Zinelis, MD, Hellenic Cancer Society, Grèce

Date of Issuance: July 9, 2014

Tesla Mania à ne pas manquer!

Oyez ! Oyez ! Oyez !
Evénements à ne pas manquer !

Dans les dernières élections provinciales, les Libéraux de l’Ontario ont promis de fournir plus d’un demi-million de dollars pour former les médecins au sujet de l’hypersensibilité environnementale et qui comprend le diagnostic de l’électrosensibilité. Une partie de cet argent est ciblé pour la clinique de l’environnement du Collège de l’hôpital de la femme (The Woman’s College Hospitals’ Environmental Clinic). Il s’agit d’un changement majeur dans la politique publique. Le gouvernement de l’Ontario s’en rend compte que l’exposition grandissante à la technologie sans-fil a des conséquences et que les médecins doivent être formés pour reconnaître les symptômes et cesser d’envoyer leurs patients à des psychiatres ou à une clinique de l’environnement surchargé avec une période d’attente de 14 mois.

Un événement spécial de quatre jours —TeslaMania-est prévu pour célébrer la vie et les inventions de Nikola Tesla.

Il commence le jour de son anniversaire (jeudi 10 juillet) avec l’Expo science Tesla au Centre des sciences de l’Ontario, où le public participera a l’avant-première du documentaire « The Healing Fields » par le réalisateur Robert W. Connolly, écoutera des conférences sur Tesla, et assistera à des démonstrations en direct de dispositifs médicaux électrothérapeutiques nouvellement approuvés par Santé Canada basés sur la technologie Tesla. Des billets en vente sur le site de Teslamania.tv

Le samedi 12 Juillet, à une courte distance de Toronto, le Joshua Creek Heritage Art Centre à Oakville sera l’hôte du Festival de la Santé Tesla (www.joshuacreekarts.com). Il s’agit d’une exposition d’art mettant en vedette des affiches historiques, des livres, des photos, des brevets et des travaux connexes du célèbre inventeur Nikola Tesla. Les participants auront la chance de voir des appareils anciens et aussi du charlatanisme de l’époque et essayer des machines électrothérapeutiques modernes inspirées par Nikola Tesla. Les participants pourront en apprendre davantage sur l’électrosmog et comment se protéger.

Cet événement est gratuit. Il s’agit d’une collecte de fonds, les profits seront versés à College Hospital Clinic de l’environnement de la femme pour former des médecins et fournir un soutien supplémentaire pour les patients qui sont devenus sensibles à leur environnement.
Pour plus d’information, visitez TeslaMania.

C4ST: Invitation à la conférence de presse du Dr David O Carpenter le 9 juillet 2014 à Ottawa

Le C4ST organise cette conférence et invite les citoyens de la province du Québec d’y participer. Ils nous offrent le transport par autocars dans notre région, si nous sommes nombreux, dans les régions avoisinantes dans le cas contraire, pour nous amener à Ottawa. Soyons nombreux!

– INVITATION OTTAWA – 9 JUILLET 2014 – NOUS AVONS BESOIN DE VOTRE PRESENCE!!
Réponse pour le 2 juillet pour pouvoir organiser le transport (par autobus – gratuité de C4ST).

~English below~

Bonjour à tous,
Plusieurs d’entre vous n’êtes pas sans savoir que le Code de Sécurité 6 de Santé Canada (qui régit les limites d’exposition aux radiofréquences) est l’un des plus laxistes au monde permettant des expositions dépassant de loin celles dans d’autres pays. Or, ce code désuet, dont les limites établies bien avant l’explosion des technologies sans fil et pratiquement inchangées depuis, sert de justification à la Santé publique du Québec, la Régie de l’Énergie, Hydro-Québec pour l’installation, entre autres, des compteurs intelligents dont les effets nocifs sur la santé sont ressentis par de plus en plus de gens.
Ce code a récemment fait l’objet d’une révision par la Société Royale, mandatée par Santé Canada. Les conflits d’intérêts de divers membres du comité de révision, l’absence de rigueur scientifique du processus attestent d’un manque de transparence que C4ST a dénoncé en insistant sur la nécessité d’élargir le processus et conduisant Santé Canada à annoncer sur leur site une consultation publique. Cependant, cette consultation ne s’étend que sur une très courte période et prend fin ce 15 juillet, en plein cœur des vacances estivales alors que les résultats de cette consultation risquent fort de passer inaperçus. Santé Canada précise aussi que seuls les commentaires de nature scientifique seront pris en note. Cette question, pourtant, concerne tous et chacun ; que vos commentaires soient de nature scientifique ou personnelle, il est important de faire part de votre opinion à Santé Canada, particulièrement en regard de la multiplication effarante des tours de transmission cellulaire, des compteurs intelligents, des routeurs à laquelle nous assistons présentement. http://www.hc-sc.gc.ca/ewh-semt/consult/_2014/safety_code_6-code_securite_6/index-eng.php (Pour ceux et celles qui le préfèrent, vous pouvez acheminer vos commentaires par le biais de C4ST(page en anglais pour l’instant, mais vous pouvez écrire en francais: http://www.c4st.org/healthcanada).
Face à cela et en l’absence de véritables audiences publiques, C4ST a jugé nécessaire de réagir en organisant une conférence de presse le 9 juillet prochain à laquelle Dr. David Carpenter (gradué de la faculté de médecine de Harvard et l’un des principaux auteurs du rapport Bioinitiative), participera, faisant état des réels dangers des radiations sans fil. Cette conférence sera suivie en après-midi d’une période lors de laquelle des citoyens pourront s’exprimer sur le sujet, s’ils le désirent. (Deux minutes environ seront accordées à chaque participant). Tous ceux et celles souhaitant contribuer par leur présence à cette journée, en appui à C4ST, sont priés de nous le confirmer d’ici le 2 juillet. C4ST projette de filmer l’événement, de publier sur son site les réponses reçues et destinées à Santé Canada et de les lui faire parvenir. Pour ceux ne pouvant venir à Ottawa mais voulant témoigner, laissez-nous le savoir; C4St peut procéder à un enregistrement.

Date et endroit de l’événement: 9 juillet au Château Laurier (Ottawa)
Heure de départ: 7 h 30
Heure de la conférence de presse: 10 h 30 à 11h30
Heure de la période de témoignages: 12h30 à 14h00

Petits cafés et endroits où s’installer à l »extérieur avec un lunch sont à proximité. Le transport par autobus est fourni par C4ST. Si plus d’un autobus s’avère nécessaire, divers endroits de départ pourront être établis selon le lieu de résidence des participants. Les derniers détails vous seront transmis peu après le 2 juillet.
Votre présence fera une différence, ensemble nous pouvons faire une différence! Nous espérons pouvoir compter sur votre appui et vous en remercions à l’avance. (Si vous avez de la famille ou des amis qui demeurent à Ottawa, invitez-les à se joindre à nous!)
Vous remerciant à l’avance!
***

As many of you already know, Health Canada Safety Code 6 (which sets exposure limits for wireless radiation) is one of the most lax in the world, its limits being much higher than in other countries. These limits were established before the commercialisation of wireless technologies and have not been updated in any significant way since. Yet, Quebec Public Health, the Board of Energy and Hydro-Quebec rely on this code and use it to justify, among other things, the installation of smart meters while ill-health effects, following their installation, are being reported by an ever-growing number of citizens.
This code has been recently reviewed by the Royal Society, mandated by Health Canada. The conflicts of interest surrounding various members of the revision panel reflect a lack of transparency. This and the fact that the revision process ended without any serious modifications proposed, despite increasing evidence of the risks of wireless radiation, were denounced by C4ST. In answer to C4ST’s request to improve the revision process, Health Canada announced a public consultation, allowing citizens to comment in writing. However, this consultation will end, after only two months, on July 15th, in the midst of the summer vacation; when the outcome of this process could easily go unnoticed. It is also mentioned on Health Canada’s website that only comments of a scientific nature will be considered. However, this question concerns all and each one of us. Your comments being of a scientific or personal nature, it is most important to inform Health Canada of your opinion on this matter, especially in regard of the increase of cellular towers, smart meters, routers that we are witnessing. (http://www.hc-sc.gc.ca/ewh-semt/consult/_2014/safety_code_6-code_securite_6/index-eng.php or http:\\www.c4st.org\healthcanada)
In face of all this and in the absence of public hearings, C4ST has decided to react and organize a press conference on July 9th to which Dr David. Carpenter (one of the main authors of the Bioinitiative report) will participate, exposing the real risks of wireless radiation, followed by a period during which citizens will be able to express themselves if they wish to do so. (Two minutes will be allowed for each participant). We are asking those of you who would like to support C4ST by attending this event to confirm their presence before July 2nd. C4ST intends to videotape this day, post all submissions on its website and also send them to HC. If you cannot come to Ottawa but would like to make a submission, let us know, C4ST can arrange a video-conference.

Date and place of the event: July 9th at Chateau Laurier (Ottawa) http://www.fairmont.com/laurier-ottawa/
Time of departure: 7h30 AM
Period of conference: 10h30AM to 11h30AM
Period of public testimonies: 12h30PM to 2h00PM

Little coffee shops or public places where you can bring a lunch are nearby. Transportation by bus is offered by C4ST. If more than one bus is needed, there can be departures in different municipalities depending on the place of residence of the participants. We’ll let you know about these details soon after July 2nd.
Your presence will make a difference, all together we can make a difference; we are counting on your support! If you have family members or friends in Ottawa, invite them to join us.
Thanking you in advance!

C4ST est une coalition nationale sans but lucratif composée de parents, citoyens et experts bénévoles.
C4ST is a national, not-for-profit, volunteer-based coalition of parents, citizens and experts.

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